Médoc

Saint-Martin et le monument aux morts de Ludon-Médoc

Retour en images sur une des rares balades de ces derniers mois

(mise en ligne du 28 Avril 2024)

Attirée le plus souvent par les rives de l’estuaire, en direction de la pointe de Grave, je connais assez peu le sud du Médoc.

Nous voici donc pour une fois non loin de Bordeaux, à Ludon-Médoc, dont l’église s’est refait une beauté l’an dernier.

L’église Saint-Martin, de conception romane, datant du XIe ou du XIIe siècle. Ce sont probablement les guerres de religion qui entraînèrent sa fortification, avec la construction d’un mâchicoulis au XVe ou au XVIe siècle. Au XIXe siècle, le clocher se verra coiffé d’un toit à l’impériale prolongé d’une fine flèche couverte de plomb. Elle est inscrite à l’Inventaire général du patrimoine culturel.

(source Wikipédia)

Le monument aux morts de la grande guerre de 1914-18 a été inauguré en Septembre 1923, Une statue en bronze, œuvre du Bordelais Edmond Ernest Chrétien représente un Poilu prêt à lancer une grenade.

(en savoir + : Gazette métropolitaine / 1923-2023 : centenaire du monument aux morts de Ludon-Médoc)

Eglise Saint-Martin et monument aux morts de Ludon-Médoc – 8 Avril 2024

- Lacanau, Médoc

Saint-Vincent de Lacanau

Eglise Saint-Vincent, Lacanau

Etape sur le chemin anglais de Saint-Jacques de Compostelle

La première église, souvent inondée par les eaux du lac, fut reconstruite pierre par pierre à Lacanau-Ville en 1767. (en savoir +)

L’église Saint-Vincent est caractéristique de l’art religieux en Médoc.

Plaque apposée en célébration des 250 ans de son édification, en présence de son Eminence Jean-Pierre Ricard, Cardinal Archevêque de Bordeaux, Joseph Batware, curé de Lacanau, Laurent Peyrondet, Maire de Lacanau.


Située sur les chemins de Saint Jacques de Compostelle, l’église Saint-Vincent de Lacanau a été complètement restaurée par la municipalité et a fêté ses 250 ans en 2017. A l’intérieur, l’église contient une pietà du XVIème siècle et une statue de Saint Jacques du XVIIème siècle, toutes deux classées par les Monuments Historiques, ainsi que des statues en bois de Saint Vincent et Saint Valère.

(source : Médoc-Atlantique Tourisme)

En savoir + sur l’église Saint-Vincent de Lacanau-Ville, paroisse des lacs du Médoc


Place à quelques images…

Lacanau-ville – Octobre 2022

Landes

Eglise Saint-Pierre de Pissos

De ce village des Landes, j’avoue, je ne connaissais que « le Café de Pissos », restaurant familial très accueillant où s’attabler n’est pas un péché, et que je recommande chaleureusement !

En cet après-midi de Juillet, nous ferons une halte à l’église paroissiale Saint-Pierre, de style néogothique, dont j’ai apprécié certaines fresques fleuries et colorées.

(Pissos compte une deuxième église, de style roman, Saint-Jean-Baptiste de Richet, que j’espère découvrir et vous présenter prochainement)

Eglise paroissiale Saint-Pierre (1902) et orgue Pleyel (1942)

Pissos, le 26 Juillet 2022

- Bourges, Architecture, Berry, Touraine, Centre, châteaux de la Loire *

Bourges : Etienne Etienne… la cathédrale !

Cathédrale Saint-Etienne, vue depuis le jardin de l’archevêché – le 9 Mai 2022

Construction (gros oeuvre) : 1195-1230
Style dominant : gothique
Logo monument historique Classée MH (1862)
Patrimoine mondial Patrimoine mondial (1992)

Histoire succincte de la Cathédrale

(avec quelques notes d’humour !)

Le chantier de remplacement de la cathédrale romane par un édifice beaucoup plus grand commença en 1195 lorsque l’archevêque de Bourges Henri de Sully rédigea un acte de donation où il stipule que 500 livres en monnaie de Gien (quingentas libras Giemensis monete) seront allouées au chapitre pour acquérir des revenus fonciers ou des rentes hypothécaires. Cette dotation était faite en vue de la construction de la nouvelle cathédrale. Le chantier débuta à l’est, au-delà du rempart gallo-romain, permettant de préserver l’ancienne cathédrale où l’on pouvait continuer à célébrer les offices. En 1206, les couloirs d’accès à l’église basse étaient voutés. En 1208 le chœur commençait à s’élever et la jonction avec la cathédrale romane imminente. En 1209, l’archevêque Guillaume de Donjon (Futur St Guillaume) prend froid en prêchant en plein hiver dans une cathédrale ouverte à tous vents et décède quelques jours plus tard le 10 janvier 1209. En 1214, le culte est déjà pratiqué, le chœur est clos et couvert et les vitraux en place. En 1230 la façade est sortie de terre et la nef centrale couverte et en 1237 le jubé est terminé. En 1240, c’est au tour des portails de la façade d’être en place. La construction de la cathédrale n’aura donc duré qu’un demi siècle même si sa consécration définitive n’eut lieu que le 5 mai 1324. Les 13 chapelles latérales furent ajoutées par de riches commanditaires entre l’extrême fin du XIVe siècle et la fin du XVIe siècle, ce qui permet à la cathédrale d’avoir des vitraux sur une période de plus de 800 ans. Au XIVe siècle, la tour sud menaçant de s’écrouler, on du la soutenir en construisant un contrefort peu esthétique mais efficace puisqu’elle est encore debout. La tour nord n’eut pas cette chance puisque le 31 décembre 1506, pour fêter sans doute la St Sylvestre à sa manière, elle s’écroula heureusement sans faire de victimes mais en causant d’énormes dégâts à la cathédrale : voûtes effondrées, portails détruits ou endommagés, vitraux abimés. De 1508 à 1540, on s’employa à la reconstruire.

Le XVIe siècle fut néfaste à la cathédrale puisqu’en plus de l’effondrement de la tour, un incendie détruisit en 1559 la charpente du premier comble côté nord et sur le pourtour de l’abside. Trois ans plus tard, en 1562, les Protestants ayant pris le contrôle de la ville détruisirent toutes les statues de la façade et abimèrent les sculptures des portails et du jubé. Au milieu du XVIIIe siècle, nos chanoines décidèrent de moderniser le chœur de la cathédrale en supprimant les tombeaux qui l’encombraient, en faisant disparaître le jubé et en détruisant 18 verrières hautes du XIIIe siècle pour les remplacer par de la grisaille afin de voir plus clair.

La Révolution fit disparaitre la plupart des vases sacrés et des pièces d’orfèvrerie. Les cloches furent fondues et les mausolées disloqués.

Il fallut attendre 1829 pour voir le début des gros travaux de restauration de notre cathédrale en piteux état à cette date. Ces travaux durèrent jusqu’en 1847 et consistèrent principalement en la restauration des sculptures des portails et des vitraux, la réfection des arcs boutants, l’adjonction des pinacles et de la balustrade sur le pourtour du grand comble. Depuis la loi de séparation des Églises et de l’État de 1905, la cathédrale appartient à l’État qui en assure l’entretien architectural. Et en 1992, la cathédrale St Étienne de Bourges a été inscrite au Patrimoine mondial par l’UNESCO.

(…) (source : Les amis de la cathédrale)

En savoir + (histoire, nombreuses illustrations avec descriptions) :

Site Belles églises

Page Wikipédia

Site Patrimoine-Histoire

Site de la ville de Bourges / la cathédrale )


Cathédrale Saint-Etienne – Bourges, les 9 et 11 Mai 2022

Après plusieurs images de la cathédrale lors de la première journée à Bourges puis des longues balades à travers la ville, après avoir évoqué les 30 ans de son classement au Patrimoine mondial par l’UNESCO, il est temps d’en découvrir un peu plus.

Le monument est d’une telle richesse qu’on ne sait pas vraiment par où commencer ! Aussi, je vous propose une visite complète via les pages mentionnées ci-dessus et le site des amis de la cathédrale (voir en bas d’article).

en savoir +

D’importants travaux de restauration étant en cours, à l’intérieur de l’édifice, vous remarquerez l’absence de vues d’ensemble.

J’ai également regretté de ne pas posséder de drone pour photographier les tours et portails de la façade occidentale… Pardon pour cet assemblage de fortune, véritable outrage aux lois de la perspective !!


Le chevet,

depuis le Cours Anatole France, le Boulevard de Strasbourg et le jardin de l’archevêché :

La façade occidentale :

La tour et le portail Nord :

Le portail et la façade Sud :

Quelques vues intérieures (en évitant les échafaudages) :

L’horloge astronomique (1424) :

Quelques-uns des vitraux :


Visite avec les amis de la cathédrale de Bourges :

- Bourges, Berry, Touraine, Centre, châteaux de la Loire *

Bourges : l’église Saint-Bonnet

Fondée durant le haut Moyen Age, l’abbaye Saint-Laurent a été dévastée en 1562, lors des guerres de Religion. Les bâtiments qui subsistent (de l’autre côté de la rue Voltaire) appartiennent à la reconstruction du XVIIe siècle ; le portail du logis abbatial (place Saint-Bonnet), daté de 1674, est attribué à Antoine Basseville, disciple de l’architecte berruyer, Jean Lejuge.

Gravement endommagée par l’incendie de 1487, l’église Saint-Bonnet a été reconstruite au XVIe siècle ; elle ne sera achevée qu’au début du XXe siècle (façade occidentale et clocher). L’intérieur est orné de verrières Renaissance, œuvre du grand peintre-verrier de Bourges, Jean Lécuyer (auteur d’autres vitraux dans la cathédrale Saint-Etienne).

(source : panneau itinéraire touristique ville de Bourges)

Voir le dossier Patrimoine-Histoire : l’église Saint-Bonnet (nombreuses photos)


Dernière église dont je pousserai la porte avant de quitter Bourges. Suivront les images de Saint-Pierre-le-Guillard, de Notre-Dame de Bourges et bien entendu de la cathédrale Saint-Etienne.

Et avant de reprendre la route, nous découvrirons une autre partie des marais !

Bourges, les 9 et 13 Mai 2022

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Bourges : église Notre-Dame

L’Eglise Notre-Dame est construite une première fois en 1157, par des chanoines réguliers de Saint Augustin, elle s’appelle alors Saint Pierre et Saint Paul le Marché. Elle a été classée monument historique le 26 janvier 1931.

(…) Ce fut l’église de Jacques Cœur et de sa famille, ils habitaient à 50 mètres de celle-ci, rue de Parerie.

Comme d’autres monuments et une grande partie de la cité, l’église est détruite lors du grand incendie de la Madeleine au mois de juillet 1487. C’est donc au XVI ième siècle, vers 1520 qu’elle est reconstruite, la nef ayant été allongée d’une cinquième travée et selon une tradition non vérifiée au plan de l’histoire, et ce serait l’architecte local Guillaume Pelvoysin qui construisit la tour nord. Au XVIIème siècle, l’entrée latérale située au sud est restaurée dans le style du moment, c’est à dire avec des colonnes corinthiennes qui donnent une petite note classique. Le 27 mai 1562, lors de l’entrée dans Bourges des Huguenots, elles est à nouveau pillée par les soudars du comte de Montgomery.

La tour est haute de 37 mètres jusqu’à la balustrade, et l’on remarque des traces d’éclats, sans doute, selon M. Jenny, des restes des guerres de religion.

Après avoir servi de dépôt de salpêtre puis de magasin de foin pendant la Révolution, elle est rendue au culte et prend en 1803 le vocable de Notre Dame.

L’intérieur de l’église comprend quelques trésors du patrimoine local.

(…)

(source : https://fsspbourges.fr/leglise-notre-dame-de-bourges/

Dossier Patrimoine-Histoire Notre-Dame de Bourges (nombreuses photos)

L’Association Sauvegardons Notre Dame de Bourges a pour mission de contribuer à la restauration, à l’embellissement et à l’animation de l’église, dont les vitraux font notamment l’objet de travaux d’urgence

Article France Bleu du 1er Mars 2022 – Bourges : l’église Notre-Dame amputée de ses vitraux pour plusieurs années

Des travaux d’urgence à l’église Notre-Dame de Bourges : une entreprise spécialisée est en train de démonter une bonne partie des vitraux. Les plus anciens remontent à la fin du XVéme siècle mais ce sont ceux du XIXéme qui posent souci.

Bourges, le 11 Mai 2022

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Bourges : église Saint-Pierre le Guillard

Après la cathédrale Saint-Étienne, Saint-Pierre-le-Guillard est la plus intéressante église de Bourges sur un plan architectural. C’est aussi la plus ancienne (voir l’origine du nom plus bas). Sa construction démarre vers 1220. Le narthex et tout le côté sud actuels sont de cette époque. Le style de l’église est le gothique bourguignon, proche du gothique champenois. Ce choix montre l’influence de Nevers, métropole bourguignonne toute proche. Du XIIIe siècle, il reste aussi une fort intéressante chapelle dédiée actuellement à sainte Thérèse, dans le déambulatoire (voir plus bas). Au XVe siècle, d’importantes restaurations sont entreprises sur le côté nord et sur la voûte du vaisseau central (voir l’encadré sur le problème non résolu de l’écroulement du côté nord et du rôle probable du Grand Incendie de 1487). La dissymétrie des élévations nord et sud (bien visible sur la photo ci-dessous) date de cette époque. Au XVe siècle toujours, Jacques Cœur finance une chapelle au nord du chœur. À la même époque, l’architecture de l’église s’enrichit au titre d’un processus coutumier après la guerre de Cent Ans : les riches bourgeois et les corporations de la ville financent la construction de douze chapelles latérales entre les arcs-boutants. Le style retenu est bien sûr le gothique flamboyant.
À la Révolution, l’église Saint-Pierre-le-Guillard, désaffectée, est transformée en salpêtrière. Elle arrive cependant au Concordat de 1802 sans trop de dommages et elle est rendue au culte. De 1826 à 1855, on assiste à une nouvelle vague de restaurations pour consolider un ensemble qui reste fragile (reprise de piliers, de contreforts et d’arcs-boutants).
Dans l’Entre-deux-guerres, l’état de l’église se délabre fâcheusement. Les chapelles gothiques, bâties sans fondation, s’affaissent, menaçant dangereusement les voûtes latérales, et par suite celle du vaisseau central. Les eaux de pluie finissent par s’infiltrer partout. Pis ! en 1951, le chanoine qui dessert la messe de minuit meurt d’un sévère refroidissement. En conséquence, l’édifice est fermé au culte. Avec l’aide de la population, la mairie de Bourges lance un emprunt et le bâtiment peut être sauvé de la ruine.
L’église possède quelques tableaux anciens et des fresques des XIIIe et XVIe siècles (notamment dans la chapelle Cujas). Enfin, une chapelle latérale, sur le côté sud, garde quelques fragments de vitraux Renaissance dans le tympan d’une verrière.
(…)

Lire dossier richement illustré : PATRIMOINE HISTOIRE – Eglise Saint-Pierre-le-Guillard à Bourges


Saint-Pierre-le-Guillard est l’une des rares églises gothiques du département. La tradition locale attribue sa fondation à un miracle de saint Antoine de Padoue, dont le passage est attesté à Bourges vers 1225-1230.
Comme la cathédrale Saint-Etienne dont elle est contemporaine, l’église Saint-Pierre-le-Guillard est dépourvue de transept et possède un déambulatoire à chapelles rayonnantes.
Les voûtes en pierre de la nef datent probablement du début du XVIe siècle : elles ont remplacé une charpente lambrissée.

Les chapelles latérales ont conservé, pour l’essentiel, leur décor intérieur : bas-reliefs en pierre sculptée, peintures murales, tableau de l’école française du XVIIe siècle (Ascension), verrières de l’atelier Lobin (XIXe siècle).

Panneau descriptif – site officiel ville de Bourges


Visite express… en suivant (le guide) la grive !

Bourges, le 11 Mai 2022

Sud-Gironde

Louchats : l’église Sainte-Croix (et ses secrets !)

Article incomplet… et pour cause…

Eglise Sainte-Croix (1842), Louchats

Les informations que j’espérais recueillir sur cette église sont rares.

Et surtout, le site de la région Nouvelle-Aquitaine dédié à l’inventaire du patrimoine culturel, véritable « bible » (!) où j’ai toujours trouvé mon bonheur, a été remanié avec un système de recherche déconcertant dont j’essaie de comprendre les subtilités !

En attendant, j’ai dû mener une enquête de voisinage !…

Je remercie l’Office de Tourisme Sauternes Graves Landes Girondines de m’avoir fourni des informations et indiqué cet ouvrage : « Le patrimoine des communes de la Gironde », éditions Flohic

Louchats était jusqu’en 1862 un quartier d’Hostens et l’église Sainte-Croix, construite en 1942, une succursale de celle de cette commune.

Une relique de la sainte croix du Christ, offerte en 1953 par l’archevêque de Bordeaux, a été déposée dans le transept.

Les premiers vitraux, installés entre 1950 et 1960, sont l’oeuvre du maître verrier Jacques Dupuy, de Créon. Son successeur Eric Dupuy (Vitraux Dupuy à Langoiran) interviendra plus tard pour remplacer les vitres transparentes encore existantes.

Ci-contre : vitrail éclairant l’autel dédié à la vierge Marie


Les fresques ont particulièrement attiré mon attention. Certaines semblent avoir été restaurées récemment, et quelques esquisses laissent à penser que d’autres travaux sont prévus.

Louchats, le 28 Mars 2022

De tout et de rien

Filaments au firmament !

- Pauillac, Médoc

Pauillac : entre mairie, église St Martin et château Grand-Puy Ducasse

(article mis en ligne le 4 Mars 2022)

Pauillac, le 22 Février 2022 – Pour cette deuxième virée de l’année dans le Médoc, après une courte pause sur le port, intriguée par cette grue derrière la mairie, je décide de visiter un peu le quartier dont je ne connaissais qu’une petite boulangerie sur les quais et un restaurant uruguayen !



Les facteurs semblent avoir trouvé une bonne adresse ! Les rues sont particulièrement paisibles en ce milieu de journée.


On découvre l’église Saint-Martin (de style néo-classique, construite de 1824 à 1829) et la légende de son clocher, dont le dôme avait été détruit par un violent orage en 2013…


A l’intérieur, le regard se porte sur le maître-autel au style baroque et sur l’ex-voto du Saint-Clément (navire de guerre de la fin du XVIIIe siècle) honorant la mémoire de Saint-Clément, pape et patron des marins, pilotes, lamaneurs et aspirants de la station de Pauillac.


Le quartier recèle de vieilles façades, quelques tours aux toits étranges et une faune parfois sauvage ! Plus sérieusement, je vous invite à consulter le site officiel Pauillac-Médoc pour découvrir la ville, son histoire, son patrimoine.


Quant à la grue qui avait éveillé ma curiosité, elle se situe sur le chantier de rénovation du château Grand-Puy-Ducasse. Rendez-vous en 2023 (j’espère…) pour une visite et une dégustation !