« La Karaoké Mobile est une caravane spécialement conçue pour ambiancer l’intégralité de la sphère terrestre (parce que c’est super les caravanes : ça roule !).
À bord de la cabine : NOUS ! A savoir : deux karaokistes qui pètent le feu. On branche les micros, les écrans et la sono : et c’est parti pour le Show ! » (…)
photos d’archive : Banc d’Arguin vu depuis la dune du Pilat, et sterne caugek
La réserve naturelle nationale du banc d’Arguin (RNN5) est située en Nouvelle-Aquitaine (Gironde, La Teste de Buch). Classée en 1972 et occupant une surface de 4 360 ha, elle protège l’ensemble du banc de sable visible au large de l’entrée du bassin d’Arcachon qui sert de zone de nidification, d’hivernage et de halte migratoire pour de nombreuses espèces d’oiseaux, dont en particulier la sterne caugek.
Personne n’est vraiment sûr de l’origine de ce nom. Il est utilisé pour la première fois en 1835 pour désigner ce banc dans le bassin d’Arcachon. L’ingénieur hydrographe Paul Monnier (1796-1843) utilisa ce nom sur une carte maritime de ce bassin après le naufrage de la frégate française La Méduse survenu en juillet 1816 sur le banc homonyme en Mauritanie
Au fil de la matinée et de la balade contée sur le Banc d’Arguin
Mercredi 19 Avril 2023
Des oiseaux et de Paul Monnier il aura été évidemment question ce matin là, lors d’une balade à deux facettes (*) :
la découverte et l’observation du site avec une guide naturaliste de la SEPANSO,
des récits et légendes par la conteuse Myriam Darmante (que nous avions découverte à la cabane 244, pour ses contes des 3 horizons et ses gourmandises).
(*)Entre contes et réalité : les tracas des cormorans, les maladresses des gravelots à collier mais aussi leurs ruses pour protéger leurs nids des prédateurs, la rencontre entre Paul Monnier et un pêcheur sur les traces de sa mère selkie, le naufrage de la Méduse et le sable de Mauritanie, le caquilier (roquette de mer), les diverses colonies d’oiseaux, la proximité humaine et le respect de la règlementation…
ci-contre (à fond de zoom !) : un couple de huîtriers pies
Corniche et plage de la dune du Pilat, avant d’embarquer :
Sur le banc d’Arguin :
Un grand MERCI à nos deux accompagnatrices
pour nous avoir permis de mieux ouvrir les yeux sur ce lieu enchanteur et de laisser vagabonder nos pensées au pays des contes…
Je reviens plus longuement sur cette fête des cerisiers, fin Mars à la Teste, avec un de ses moments phares : une très belle présentation de l’art du Kimono « Ukiyo No Kimono Emaki Sakura » par Bitsukéshi Hisayo HAMADA, Maître de Kimono.
Merci aux maîtres des lieux pour leur accueil et à Junko Sakurai, chef cuisinière Japonaise et organisatrice de ces deux journées, d’avoir autorisé la mise en ligne de ces images.
Le hanami (花見?, littéralement, « regarder les fleurs »), ou o-hanami avec préfixe honorifique, est la coutume traditionnelle japonaise d’apprécier la beauté des fleurs, principalement les fleurs de cerisier (sakura), lorsqu’à partir de fin mars ou début avril, elles entrent en pleine floraison.
De nos jours, le hanami se résume souvent à profiter de cette saison pour pique-niquer, discuter, chanter sous les cerisiers en fleur. Cette coutume est au printemps ce que momijigari, l’observation de kōyō (le changement de couleur des feuilles), est à l’automne.
Au terme de 10 années de travaux (et de quelques manifestations d’impatience de ma part, à propos du château…) , le domaine de Certes et Graveyron, propriété du Conservatoire du littoral, a été officiellement inauguré le 14 Octobre .
De nombreuses animations avaient ponctué la semaine. Retour en images sur la journée de samedi.
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Le château, dont la restauration extérieure vient de s’achever
Si, comme moi, vous n’avez pas encore eu l’occasion de découvrir la verrière de la gare Bordeaux Saint-Jean, depuis la fin de l’immense chantier de rénovation, je vous invite à y rejoindre trois artistes :
« Parenthèse », ou la rencontre de la danse, de la musique et de la calligraphie, au cœur de la verrière de la gare Bordeaux Saint-Jean. Le temps d’une performance suspendue, Fanny Sage, Gatha et Maaya Wakasugi, trois artistes attachés à Bordeaux, jouent avec la lumière, les rythmes et la transparence, et nous emportent dans leur univers.
On se souvient avec bonheur de ses « contes des 3 horizons », l’an dernier, à la cabane 244. Cette année, Myriam Darmanté revient avec quelques « gourmandises»… Et ce n’est pas un péché que de venir les déguster !!
L’association Cabane 244 ouvrira sa porte à 25 privilégiés pour la création de son premier évènement de l’année 2015. Cette première soirée se poursuivra avec des échanges autour d’une dégustation d’huitres du bassin et d’un verre de vin.
Une ligne du passé : En 1936, Raoul Marceron, le grand père de la famille a fait construire la cabane n° 244. Là, Raoul a formé 3 familles d’ostréiculteurs. La cabane 244 a gardé son aspect traditionnel, les vitrages en bandeaux, sa structure sur pilotis, son « taouley » (table de travail) sur lequel sont placés les outils du patrimoine ostréicole. La cabane 244 a déjà…