Sa bonne tête de vainqueur va peut-être m’encourager à replonger dans mes fonds de tiroirs, et mettre encore en ligne de vieilles diapos !…
Canal latéral à la Garonne, le Mas d’Agenais (47) – Nikon FE – Diapo de 1985
Sa bonne tête de vainqueur va peut-être m’encourager à replonger dans mes fonds de tiroirs, et mettre encore en ligne de vieilles diapos !…
Canal latéral à la Garonne, le Mas d’Agenais (47) – Nikon FE – Diapo de 1985
Porte close dans le Lot-et-Garonne – 7 Octobre 2001
Dans les ruelles de Clermont-Dessous (47) – 1986
Appel à témoins encore une fois. Une boîte de diapos pas étiquetée, certaines de la série sont prises à Barbotan-les-Thermes et Cazaubon. Bref, on est dans le Gers !
Gers – 1985
Retour dans mon cher Sud-Ouest, pour une visite de Fourcès, dans le Gers et en limite du Lot-et-Garonne, l’un des 148 plus beaux villages de France.
Situé sur la rivière Auzoue (boueuse ce jour-là… mais je me refuse ici à tricher avec photoshop !), Fourcès est la seule bastide au plan circulaire du Gers. Son existence est mentionné dans une charte de 1068. Cette place forte est alors une des seigneuries les plus importantes de Gascogne.
A découvrir :
La tour de l’Horloge (XIIIe siècle), monument classé.
Le château (XVe siècle), devenu hôtel.
Le pont d’entrée (XVe siècle).
L’ église Saint-Laurent. Moyen Âge, partiellement refaite à la fin du XIXe siècle.
L’église Sainte-Quitterie. Datant vraisemblablement de la période pré-romane.
La place ronde.
(source Wikipédia)
Fourcès -1987
Eté 1977, lors de vacances à Casteljaloux, une visite du château-fort de Bonaguil, près de Fumel.
Beaucoup de diapos très semblables, il va falloir maintenant que je scanne mes négatifs APS pour compléter la série !
Instamatic
« historique : La maison-forte de Capchicot est un petit édifice des 16e et 17e siècles qui présente un intérêt essentiellement historique. Ce logis servit de rendez-vous de chasse au roi de Navarre au cours de son séjour à Nérac de 1577 à 1587. Il joua également un rôle d’étape pour Henri de Navarre et ses agents comme le précisent les lettres d’anoblissement du maître des lieux par Henri IV en 1597. Capchicot servit aussi de gîte pour le maréchal de Praslin et Bassompierre, colonel-général des Suisses, lors de la campagne de 1620 menée par Louis XIII. En 1646, le seigneur de Capchicot et son fils furent assassinés par le gendre du seigneur d’Allons dans une querelle de préséance. Peu après, au cours de la Fronde, une unité de l’armée de Condé fit de Capchicot son repaire pour rançonner les environs de Casteljaloux, puis pilla le logis et incendia les communs. Les seigneurs de Capchicot s’installèrent alors dans leur château d’Aillas mais conservèrent Capchicot jusqu’en 1880. Les percements du rez-de-chaussée ont été largement modifiés et la toiture a été refaite d’une façon assez sèche. L’intérieur demeure pittoresque mais aucun décor ancien n’a été conservé. »
extrait de www.patrimoine-de-france.org
Zenit EM – 1980 (passage sépia car diapos aux couleurs très altérées)
J’ai passé de très bons moments de vacances dans le Lot et Garonne, Casteljaloux plus précisément, de 1972 à 2002. Nous étions « aux portes de la forêt landaise », le cachet de la poste faisant foi !
Une page s’est tournée, il ne reste « que » quelques souvenirs à travers bon nombre de diapos faites, gamine, avec mon instamatic, et d’autres un peu plus récentes que je tente de rendre présentables !