Sanguinet, à mi-chemin entre Parentis et le Bassin – Petit détour par le lac le temps d’une jolie mais trop brève éclaircie, et alors que le vent se lève, faisant au moins un heureux !











Sanguinet, le 16 Novembre 2022
Sanguinet, à mi-chemin entre Parentis et le Bassin – Petit détour par le lac le temps d’une jolie mais trop brève éclaircie, et alors que le vent se lève, faisant au moins un heureux !
Sanguinet, le 16 Novembre 2022
Bien que Parentis-en-Born ne soit qu’à une quarantaine de kilomètres du Bassin d’Arcachon, je ne m’y étais jamais arrêtée et n’avais fait qu’apercevoir l’imposant clocher de son église au retour de Pontenx-les-Forges et de Gastes
Coup de coeur confirmé pour ce clocher, ainsi que pour le kiosque, les constructions en cours sur la place, les terrasses accueillantes de chez Flo et la tonnelle du boucher-charcutier ! Mais il me faudra revenir une journée ensoleillée pour des vues intérieures de l’église qui m’a paru particulièrement sombre… et peut-être bien aussi pour une pause gourmande !
Clocher église Saint-Pierre de Parentis-en-Born avant 1921 (page FB Parentis Patrimoine)
L’église Saint-Pierre est un lieu de culte catholique situé sur la commune de Parentis-en-Born, dans le département français des Landes. Elle est une étape sur la voie du littoral des chemins de Saint-Jacques de Compostelle.
L’église, dédiée à Saint Pierre, est bâtie en garluche dans le style gothique au XVe siècle. Plusieurs fois remaniée depuis sa construction, elle est l’édifice le plus ancien de la commune.
Sa nef était flanquée jusqu’en 1921 d’une tour fortifiée datant de la guerre de Cent Ans, constituant la plus ancienne partie de l’édifice (XIVe siècle). Elle était dotée d’une salle haute percée de meurtrières et abritant deux petits canons à main, également appelés couleuvrines. Démolie, elle est remplacée par le clocher-porche actuel achevé en 1922.
(lire la suite : Wikipédia/église Saint-Pierre de Parentis-en-Born)
Quelques images entre deux averses
Parentis-en-Born (40) – le 16 Novembre 2022
Le port de Gastes (4 bassins : les Calicobas, les Sandres, les Perches, les Brochets) compte actuellement 45 hangars à bateaux couverts. Les plus anciens sont bientôt centenaires. Ils servaient aux résiniers et bûcherons qui rejoignaient via le lac les forêts domaniales, pour y amarrer leurs barques et entreposer leur matériel.
Par la suite, la plaisance et la pêche ont pris le dessus !
En savoir + : https://www.gastes.fr/Notre-village/Les-hangars-a-bateau
Vues générales du port :
Un des bassins : le port des Brochets
Le port des Brochets, à Gastes (40), lac de Parentis et Biscarrosse – le 17 Septembre 2022
A l’origine, cette église dédiée à St Martin, comprenait une seule nef. Elle a fait l’objet de remaniement avec l’adjonction au XIXème siècle de la nef latérale sud et plus tard d’un avant porche.
Elle porte l’empreinte du XV°s avec sa tour de garde et se compose de 2 nefs. Au pied du clocher s’ouvre une ancienne porte intérieure dont l’archivolte est décorée de palmettes adossées figurant des feuilles de chêne, qui pourrait se rapporter à un style gothique tardif. Au clocher, on remarquera sur la façade nord une ouverture carrée qui semble avoir été un poste d’observation. Sur le côté sud de la tour, on notera une ouverture à 4 lobes, ayant servi pour la surveillance. A l’intérieur se trouve une vierge debout du XVII°s en bois doré, elle tient l’enfant Jésus sur son bras dormant alors qu’habituellement il est éveillé.
(source : tourismelandes.com/église Saint-Martin de Pontenx-les-Forges)
Autour de l’église, malheureusement fermée ce samedi des Journées Européennes du Patrimoine, et aux bassins à sec en cet été caniculaire.
Pontenx-les-Forges, le 17 Septembre 2022
De ce village des Landes, j’avoue, je ne connaissais que « le Café de Pissos », restaurant familial très accueillant où s’attabler n’est pas un péché, et que je recommande chaleureusement !
En cet après-midi de Juillet, nous ferons une halte à l’église paroissiale Saint-Pierre, de style néogothique, dont j’ai apprécié certaines fresques fleuries et colorées.
(Pissos compte une deuxième église, de style roman, Saint-Jean-Baptiste de Richet, que j’espère découvrir et vous présenter prochainement)
Eglise paroissiale Saint-Pierre (1902) et orgue Pleyel (1942)
Pissos, le 26 Juillet 2022
Après avoir découvert et longé un bras du Canal du littoral des Landes, on arrive à port Navarrosse, en pays de connaissance donc !
Port Navarrosse – 27 Janvier 2022
Ce 17 Juillet : retour sur l’actualité en Gironde, avec les feux de forêt de Landiras et la Teste. Près de 13.000 hectares brûlés. De nouvelles évacuations autour de Landiras. La situation s’est dégradée dans l’après-midi en raisons de vents changeants et à la Teste, le feu a franchi la route et se dirige vers le Sud et l’Océan.
Communiqué de presse de la préfète de la Gironde – incendies en cours : point le 17 juillet à 21h00
Aucun lien avec ce qui va suivre (même si Biscarrosse n’est pas très loin de la Teste), mais je tiens à évoquer comme ces derniers jours, la triste actualité de ce long week-end du 14 Juillet : feux de forêt « hors-normes » (selon le directeur du SDIS 33), évacuations des campings et villages menacés par les flammes ou envahis par les fumées, canicule…
Voir le dossier Sud-Ouest : Incendies en Gironde
Sur une note plus légère et faute de nouvelles balades, j’ai retrouvé quelques images du mois de Janvier, du côté des Landes, sur le lac de Cazaux-Sanguinet, à Navarrosse (commune de Biscarrosse). Couvrez-vous chaudement, savourez la fraîcheur et surtout le calme des lieux hors-saison !
Le 27 Janvier 2022 – J’aime ces endroits à deux pas de ceux qui nous sont familiers, et qu’on a la très agréable surprise de découvrir un jour par hasard.
C’est ainsi qu’à Navarrosse – où le Canal du littoral des Landes relie le petit étang de Biscarrosse au lac de Sanguinet-Cazaux – une passerelle mène à un bras pittoresque et un chemin où il fait bon flâner.
4°C au plus chaud de l’après-midi et une fois la brume dissipée. Juste quelques cormorans et promeneurs croisés au fil de la balade :
Chemin de Navarrosse, du Canal du littoral des Landes au Port Navarrosse – Biscarrosse (40)
Des marais de Bourges, nous n’aurons vu qu’une infime partie. Mais juste avant de quitter la ville, nous aurons au moins eu un petit aperçu du chemin de Caraqui et pu ainsi rallier la place des Frênes, où j’étais passée 3 jours auparavant.
Mise au vert et pause gourmande ce vendredi midi, avant d’avaler cette fois des kilomètres !
Bourges, le 13 Mai 2022
Pour tout savoir et percer l’âme des marais de Bourges : L’ENCYCLOPEDIE DE BOURGES
Pour ne pas se perdre…
… et revoir les images :
– du chemin de la digue de l’Yèvre,
– de la place des Chenus et de l’allée des Ribauds
Cathédrale Saint-Etienne, vue depuis le jardin de l’archevêché – le 9 Mai 2022
Construction (gros oeuvre) : 1195-1230 Style dominant : gothique ![]() ![]() |
Histoire succincte de la Cathédrale
(avec quelques notes d’humour !)
Le chantier de remplacement de la cathédrale romane par un édifice beaucoup plus grand commença en 1195 lorsque l’archevêque de Bourges Henri de Sully rédigea un acte de donation où il stipule que 500 livres en monnaie de Gien (quingentas libras Giemensis monete) seront allouées au chapitre pour acquérir des revenus fonciers ou des rentes hypothécaires. Cette dotation était faite en vue de la construction de la nouvelle cathédrale. Le chantier débuta à l’est, au-delà du rempart gallo-romain, permettant de préserver l’ancienne cathédrale où l’on pouvait continuer à célébrer les offices. En 1206, les couloirs d’accès à l’église basse étaient voutés. En 1208 le chœur commençait à s’élever et la jonction avec la cathédrale romane imminente. En 1209, l’archevêque Guillaume de Donjon (Futur St Guillaume) prend froid en prêchant en plein hiver dans une cathédrale ouverte à tous vents et décède quelques jours plus tard le 10 janvier 1209. En 1214, le culte est déjà pratiqué, le chœur est clos et couvert et les vitraux en place. En 1230 la façade est sortie de terre et la nef centrale couverte et en 1237 le jubé est terminé. En 1240, c’est au tour des portails de la façade d’être en place. La construction de la cathédrale n’aura donc duré qu’un demi siècle même si sa consécration définitive n’eut lieu que le 5 mai 1324. Les 13 chapelles latérales furent ajoutées par de riches commanditaires entre l’extrême fin du XIVe siècle et la fin du XVIe siècle, ce qui permet à la cathédrale d’avoir des vitraux sur une période de plus de 800 ans. Au XIVe siècle, la tour sud menaçant de s’écrouler, on du la soutenir en construisant un contrefort peu esthétique mais efficace puisqu’elle est encore debout. La tour nord n’eut pas cette chance puisque le 31 décembre 1506, pour fêter sans doute la St Sylvestre à sa manière, elle s’écroula heureusement sans faire de victimes mais en causant d’énormes dégâts à la cathédrale : voûtes effondrées, portails détruits ou endommagés, vitraux abimés. De 1508 à 1540, on s’employa à la reconstruire.
Le XVIe siècle fut néfaste à la cathédrale puisqu’en plus de l’effondrement de la tour, un incendie détruisit en 1559 la charpente du premier comble côté nord et sur le pourtour de l’abside. Trois ans plus tard, en 1562, les Protestants ayant pris le contrôle de la ville détruisirent toutes les statues de la façade et abimèrent les sculptures des portails et du jubé. Au milieu du XVIIIe siècle, nos chanoines décidèrent de moderniser le chœur de la cathédrale en supprimant les tombeaux qui l’encombraient, en faisant disparaître le jubé et en détruisant 18 verrières hautes du XIIIe siècle pour les remplacer par de la grisaille afin de voir plus clair.
La Révolution fit disparaitre la plupart des vases sacrés et des pièces d’orfèvrerie. Les cloches furent fondues et les mausolées disloqués.
Il fallut attendre 1829 pour voir le début des gros travaux de restauration de notre cathédrale en piteux état à cette date. Ces travaux durèrent jusqu’en 1847 et consistèrent principalement en la restauration des sculptures des portails et des vitraux, la réfection des arcs boutants, l’adjonction des pinacles et de la balustrade sur le pourtour du grand comble. Depuis la loi de séparation des Églises et de l’État de 1905, la cathédrale appartient à l’État qui en assure l’entretien architectural. Et en 1992, la cathédrale St Étienne de Bourges a été inscrite au Patrimoine mondial par l’UNESCO.
(…) (source : Les amis de la cathédrale)
En savoir + (histoire, nombreuses illustrations avec descriptions) :
Site Belles églises
Page Wikipédia
Site Patrimoine-Histoire
Site de la ville de Bourges / la cathédrale )
…
Cathédrale Saint-Etienne – Bourges, les 9 et 11 Mai 2022
Après plusieurs images de la cathédrale lors de la première journée à Bourges puis des longues balades à travers la ville, après avoir évoqué les 30 ans de son classement au Patrimoine mondial par l’UNESCO, il est temps d’en découvrir un peu plus.
Le monument est d’une telle richesse qu’on ne sait pas vraiment par où commencer ! Aussi, je vous propose une visite complète via les pages mentionnées ci-dessus et le site des amis de la cathédrale (voir en bas d’article).
D’importants travaux de restauration étant en cours, à l’intérieur de l’édifice, vous remarquerez l’absence de vues d’ensemble.
J’ai également regretté de ne pas posséder de drone pour photographier les tours et portails de la façade occidentale… Pardon pour cet assemblage de fortune, véritable outrage aux lois de la perspective !!
Le chevet,
depuis le Cours Anatole France, le Boulevard de Strasbourg et le jardin de l’archevêché :
La façade occidentale :
La tour et le portail Nord :
Le portail et la façade Sud :
Quelques vues intérieures (en évitant les échafaudages) :
L’horloge astronomique (1424) :
Quelques-uns des vitraux :
Fondée durant le haut Moyen Age, l’abbaye Saint-Laurent a été dévastée en 1562, lors des guerres de Religion. Les bâtiments qui subsistent (de l’autre côté de la rue Voltaire) appartiennent à la reconstruction du XVIIe siècle ; le portail du logis abbatial (place Saint-Bonnet), daté de 1674, est attribué à Antoine Basseville, disciple de l’architecte berruyer, Jean Lejuge.
Gravement endommagée par l’incendie de 1487, l’église Saint-Bonnet a été reconstruite au XVIe siècle ; elle ne sera achevée qu’au début du XXe siècle (façade occidentale et clocher). L’intérieur est orné de verrières Renaissance, œuvre du grand peintre-verrier de Bourges, Jean Lécuyer (auteur d’autres vitraux dans la cathédrale Saint-Etienne).
(source : panneau itinéraire touristique ville de Bourges)
Voir le dossier Patrimoine-Histoire : l’église Saint-Bonnet (nombreuses photos)
Dernière église dont je pousserai la porte avant de quitter Bourges. Suivront les images de Saint-Pierre-le-Guillard, de Notre-Dame de Bourges et bien entendu de la cathédrale Saint-Etienne.
Et avant de reprendre la route, nous découvrirons une autre partie des marais !
Bourges, les 9 et 13 Mai 2022
Inauguré en 1886, le marché couvert Saint Bonnet est un édifice de 2200 m² formé de deux halles et d’un passage central. Sa structure et sa charpente sont métalliques, avec des panneaux de verre. Les matériaux proviennent des fonderies de Mazières, tout comme les halles de Baltard à Paris. Ce lieu devient avec la Halle au Blé le second grand marché de Bourges
En savoir + sur la halle Saint-Bonnet :
La plateforme ouverte du patrimoine
Bourges les 11 et 13 Mai 2022
Dernière matinée à Bourges. Avant de rejoindre la Halle Saint-Bonnet, je repasse par une rue (et non « boulevard ») qui m’est devenue familière. On m’y a recommandé une petite charcuterie-fromagerie-épicerie-cave (je crois n’avoir rien oublié !) où je trouverai en effet mon bonheur. Un peu plus loin, les dés à coudre attendent de prendre du service, chez Céline (et la fée Couture) comme au bar !
Rue Edouard Vaillant, Bourges – le 13 Mai 2022
(quelques explications suivront…)
Bourges, le 12 Mai 2022
Cette grande artère pavée est le temple du shopping de Bourges depuis la Belle Epoque. Au XIXe siècle, des travaux d’urbanisme modifient la rue Moyenne et ses alentours pour en faire un long axe menant à la place Séraucourt. Le tramway est alors le moyen de transport privilégié pour la remonter. En levant les yeux, on peut admirer des bâtiments de style art nouveau construits après l’incendie ayant dévasté la rue Moyenne en 1928. Les façades et toitures des Nouvelles galeries, où se sont installés la Fnac et H&M, et du magasin Aubrun en font partie, tout comme l’ancien magasin des Dames de France (place Planchat). Tous les trois sont inscrits à l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques.
(Source : le Petit Futé)
Retour sur cette journée du 12 Mai, commencée au Jardin des Prés Fichaux, à l’Hôtel-Dieu, la Halle au blé et le moulin de la Chappe.
Plusieurs séries au fil des rues suivront. Commençons par cette rue Moyenne dont la poste et certains immeubles attirent forcément le regard.
La poste, de style néo-gothique (en savoir +) et au loin, la cathédrale Saint-Etienne :
Banque Populaire (ancien Grand Café) et grands magasins (en savoir +) :
L’avis du Petit Futé sur la rue d’Auron : C’est une longue rue semi-piétonne. Les maisons à pans de bois y sont nombreuses mais beaucoup restent à rénover. Les boutiques qui la bordent sont souvent indépendantes et lui donnent un caractère bien typé : marchand de chaussures, boucher, fleuriste, maison de thé et café, boutique de jouets… Malheureusement, beaucoup de ces boutiques familiales ferment leur porte pour laisser la place à des enseignes sans caractère (banques, superettes, agences immobilières…). La partie haute, autrefois nommée rue du Tambourin-d’Argent, a bien sûr perdu depuis longtemps ses auberges, ses maréchaux-ferrants, ses bourreliers, son charron et son marchand de chevaux. La circulation y était rare et lente. Le calme et la quiétude de l’ex-Grande Rue d’Auron la rendent agréable à parcourir sans but précis.
En savoir + : la rue et le quartier d’Auron – l’Encyclopédie de Bourges
Après avoir déambulé autour de la Halle au blé, des écoles voisines et du moulin de la Chappe, on quitte les boulevards de Juranville et d’Auron pour remonter la rue d’Auron jusqu’à l’enclos des Jacobins et rejoindre ensuite la rue Moyenne.
Bourges, le 12 Mai 2022
Un mot en passant…
Manque de temps pour en finir avec mon album-souvenir de Bourges. Et pas assez méthodique pour poster les images dans l’ordre chronologique !
Une pensée aussi pour mes abonnés venus visiter le Bassin d’Arcachon. Patience, plus que quelques séries berruyères avant de retrouver le pays de Buch, en forêt ou dans l’air iodé des ports !!
Dernier après-midi, diverses époques et styles architecturaux
Bourges, le 12 Mai 2022
(article mis en ligne le 4 Juillet)
Ce 4 Juillet 2022 – L’esprit encore à Bourges, je fais durer le plaisir, plongée dans « le grand Coeur » de Jean-Christophe Rufin, livre passionnant sur la vie de Jacques Coeur. Et à part une belle balade en forêt il y a tout juste un mois, je n’ai pas remis le nez et l’appareil-photo dehors ! Je poste ce billet, resté jusqu’alors dans mes albums-souvenirs privés, pour montrer divers aspects de l’architecture berruyère au fil des rues et des siècles, dans le centre historique et quelques artères qui l’encerclent.
Jeudi 12 Mai, au matin : autour du jardin des Prés Fichaux, puis sur le parcours vers la maison de la Reine Blanche, l’Hôtel-Dieu, la Halle au blé et l’école Auron, le moulin de la Chappe ; on passera par l’avenue de Peterborough (autour du centre commercial l’Avaricum), la rue Cambournac, la rue Gambon, le boulevard Gambetta, le boulevard de Juranville, les berges de l’Auron. Le soleil, lui, boudait un peu, mais je n’avais pas boudé mon plaisir pour cette nouvelle journée-marathon dans Bourges !!