Une telle météo ne pouvait que me donner envie d’une escapade dans le Médoc, au bord de « la rivière » ! Très peu de photos, aucune chance d’embarquement immédiat à cette heure trop tardive de la journée, juste le plaisir de lézarder au soleil, sur un petit port désert à ce moment-là !
Jeudi soir, « C2 » -1 (veille de deuxième confinement !), temps printanier, derniers jours des congés de la Toussaint, de nombreux promeneurs (masqués pour la plupart), et une douce lumière sur les ports de Gujan et de Larros.
Une balade faite et refaite, mais à la saveur particulière cette fois-ci. Un parfum iodé à retrouver en Décembre…
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Quelques bateaux à quai.
Les activités de loisirs étant interdites ces prochaines semaines sur les eaux du Bassin, seuls les professionnels (pêcheurs, ostréiculteurs, navettes UBA) pourront naviguer. (en savoir +)
Malescasse... joli nom, pour un moulin qui n’est plus rose mais re-déploie fièrement ses ailes et pour le château voisin, dont les vins « crus bourgeois exceptionnels Haut-Médoc » ont bel et bien reçu leurs lettres de noblesse !
Je n’ai pas résisté à une nouvelle halte (quand on M !…), en jouant hélas à cache-cache avec le soleil et sans trop de temps devant moi (et ça, j’M moins !!)
L’ancienne Capitainerie du port d’Arcachon est devenue Piraterie. Elle sera bientôt démolie (lire article Sud-Ouest), mais on peut encore y croiser un aventurier et une étrange créature !
(ciel bien bien gris ce samedi, d’où cette rétrospective N&B !)
Port d’Arcachon, les 23 Septembre et 3 Février 2020
Cela faisait plus de six mois que je n’avais pas traîné mes guêtres à Arcachon et j’ai soudain eu envie de revoir le port.
Après vous avoir dévoilé une surprenante peinture de Picasso (si si !!), je vous amène sur le quai Goslar, entre le « pôle nautisme » et l’ancienne capitaineriela nouvelle Piraterie, pour une balade sans grandes surprises, hormis le soleil, encore bien présent ce mercredi matin !
Conche de Saint-Palais et carrelets du Pont du Diable
Saint-Palais-sur-Mer est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime, en région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants sont appelés les Saint-Palaisiens et les Saint-Palaisiennes.
Station balnéaire ayant pris son essor à la fin du XIXe siècle, Saint-Palais-sur-Mer est une commune résidentielle de la proche banlieue ouest de Royan, la deuxième plus grande ville du canton de La Tremblade. Située à l’embouchure de l’estuaire de la Gironde, face à l’océan Atlantique, sur la côte de Beauté, elle appartient géographiquement au Royannais et à la presqu’île d’Arvert. Elle conserve de nombreux témoignages de l’architecture balnéaire de la « Belle Époque » aux « Années Folles » (villas, chalets, castels et autres « folies » aux styles variés), au cœur d’une forêt de pins faisant partie de la forêt domaniale de la Coubre ou de la forêt des Combots d’Ansoine. Son centre-ville, constitué d’immeubles modernes, se structure autour d’une place centrale, bordée de boutiques et de restaurants, et d’un parc de 16 hectares agrémenté d’un lac artificiel et d’infrastructures de loisirs.
Le littoral accueille cinq plages, de tailles variées, reliées entre elles par un sentier de promenade aménagé (sentier des Douaniers) d’où peuvent être observées des formations rocheuses pittoresques, tel le Pont du Diable ou le Puits de l’Auture. Au nord de la commune, le site de la Grande-Côte est formé d’une grande plage rectiligne qui évoque la côte sauvage ou les plages de la côte d’Argent. Un pôle touristique (boutiques, bars, restaurants) a été aménagé à proximité, tirant profit d’une situation de balcon sur l’océan.
Encore en déplacement dans les environs de Royan (*) nous avons fait un crochet par Saint-Palais-sur-Mer.
Superbe balade autour de la conche et de la plage du Bureau, puis sur le sentier des douaniers (corniche des Pierrières), vers le Pont du Diable. Faute de temps, nous n’aurons pas le loisir d’y passer, ni même de l’apercevoir, d’où nous étions !….
(*) Clin d’oeil à une copinaute Charentaise à qui je ferai signe, promis, quand l’escapade sur « ses terres » sera purement récréative, sans RDV ni contraintes de temps.
J’ai un peu de mal à revenir sur le Bassin, déserté tout l’été, et à me remotiver pour le sillonner à la recherche de recoins pas encore « explorés » !
Alors, après les escapades de Juillet sur l’estuaire et l’île de Patiras, après la visite de la citadelle de Blaye en Août, et surtout le « marathon » de la semaine dernière en Charente Maritime (Marennes, Meschers et Talmont), j’ai envie de replonger dans quelques souvenirs d’il y a tout juste deux ans, à Royan…
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ROYAN, le 8 Septembre 2018
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Talmont-sur-Gironde est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine). Ses habitants sont appelés les Talmonais et les Talmonaises. Talmont est également un petit port où on pêchait autrefois l’esturgeon pour ses œufs (caviar), et désormais le maigre, l’alose, la lamproie et les pibales.
Ancienne bastide fondée par le roi d’Angleterre et duc d’Aquitaine Édouard Ier en 1284, cette petite cité campée sur un promontoire dominant l’estuaire de la Gironde fut autrefois une redoutable place-forte, dont ne subsistent désormais que quelques pans de remparts et les vestiges d’une tour médiévale à demi ruinée (tour blanche).
Les rues du bourg, qui se coupent à angle droit, sont bordées de maisons anciennes, volontairement très basses afin de limiter la prise au vent, couvertes de tuiles roses et presque toutes blanchies à la chaux. En été, de nombreuses roses trémières apportent une touche colorée à cet ensemble.
Au bord de la falaise, l’église Sainte-Radegonde, construite au xiie siècle, surplombe les flots de sa silhouette caractéristique, elle est entourée d’un cimetière marin envahi de passeroses et de fleurs sauvages.
La commune est une des étapes d’un sentier de grande randonnée balisé, le GR 360.
Elle a reçu le label des Plus beaux villages de France et des Petites cités de caractère et appartient depuis 2011 au réseau « Villages de pierres et d’eau », label initié par le conseil général afin de promouvoir des sites exceptionnels présentant la particularité d’être situés au bord d’une étendue d’eau (mer, rivière, étang…).