La pointe du Cap-Ferret recule (ce n’est pas un scoop !), la rose des vents est devenue rose des sables, on ne la distingue même plus, l’accès à la plage est interdit, fini le temps des balades vers les blockhaus.
Il faudra se contenter d’une pause face à la dune du Pilat, avant quelques pas, ce jour-là, sur le sentier de l’abécédaire.
Suite à la destruction par les intempéries de la deuxième croix en bois de la pointe du Cap Ferret, cette croix en granit fut offerte par la compagnie pétrolière Esso Rep qui exploitait jusqu’en 1994 le pétrole de la pointe du Cap Ferret. Cette croix, la troisième, est toujours visible aujourd’hui au milieu des pins et « loin » du rivage.