(mis en ligne le 22 Octobre)
Spécial dédicace à Marie (Breizh Ma Bro) qui me faisait remarquer dans un billet précédent que j’avais l’ « Eyre » et elle la chanson ! En réalité,une chanson m’avait aussi trotté dans la tête sur le quai du port des Tuiles, en voyant ces amarres « fabrication maison » : « Le Bricoleur » !
Mon Dieu, quel bonheur !
Mon Dieu, quel bonheur
D’avoir un mari qui bricole
Mon Dieu, quel bonheur !
Mon Dieu, quel bonheur
D’avoir un mari bricoleur
😉
Petit hommage à Georges Brassens qui aurait eu 100 ans cette année, le 22 Octobre.
… et le mari bricoleur est parfois marin, amateur d’arts « plastiques » !!
Port des Tuiles, Biganos
merci Marie car j’ai un mari bricoleur dont c’est l’anniversaire aujourd’hui 🙂 😉
superbes compos et chanson
bonne journée
Merci pour la dédicace et surtout merci à ce grand monsieur. Il est, était et restera toujours mon poète, chanteur, compositeur et musicien préféré. C’était un génie que personne jamais n’a remplacé ou égalé.
Et puisque tu me tends une perche énorme, je vais me permettre de poser chez toi ce poème que j’avais écrit en son hommage il y a quelques années :
A la mémoire d’un poète
Il a cassé sa pipe
Il y a bien longtemps
Mais a laissé ses tripes
En lieu de Testament.
Il voulait qu’on l’Enterre
Sur la plage de Sète
Mais c’est au cimetière
Qu’est notre cher poète.
Sur tous les Bancs publics
Il nous a entraînés
Et dans sa rhétorique
Y’avait Rien à jeter.
Avec lui nous avons
Marguerite effeuillé
Connu le vieux Léon
La Jeanne et sa bonté.
L’Auvergnat son compère
Est Au bois de mon cœur
Il chante la Prière
Auprès du fossoyeur.
Brave Margot soupire,
Attendant La Fessée
Et se meurt de désir
Pour Quatre bacheliers.
Seule Auprès de son arbre
Marquise est énervée
L’Orage au loin s’attarde
Et Le Vent s’est levé.
L’ancêtre dans son coin
Se souvient et médite
Au souvenir lointain
D’la guerre 14-18.
Le gorille ce Don Juan
Se dit P… de toi
Je suis un Mécréant
Et loin d’être Le Roi.
Le Fantôme Trompe la mort
En pensant à Fernande
Mais avec La Légende
De la nonne il s’endort.
Et Les Copains d’abord
Gastibelza, Grand’Père
Jeanne et Tonton Nestor
C’est pour eux Comme hier.
Avec Corne d’Aurochs
Et Jehan l’advenu
Ils partent encore en bloc
Faire la chasse aux cocus.
Si Cupidon s’en fout
Brassens ce grand Bonhomme
Qu’était pas un Voyou
Pour moi est un grand homme.
© Marie Le Corre, 16 juin 2006
Un bien bel hommage qui me fait prendre conscience que je connais assez mal son répertoire…
Merci Marie
Petite précision, ce poème sera aussi sur mon site REGARDS demain.