- Cap-Ferret, BASSIN D'ARCACHON

Belle mécanique sur l’itinéraire bis !

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Nous avons laissé Danièle sur l’autoroute pour oser une folle escapade sur une simple départementale !

Pas de pointe de vitesse sur la pointe du Cap-Ferret.

Pour d’autres, la tentation était grande, sans doute, d’appuyer sur le champignon !…

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BLOG-DSC_2970-voiture et conche Cap-Ferret N&Ben savoir + sur la RONART W152

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« C’est une voiture originale que je vous présente aujourd’hui. Son nom de code : Ronart W152.

A part pour certains férus et autres experts de l’histoire automobile anglaise, cette marque reste assez méconnue du grand public.

Pourtant, elle respecte la grande tradition des roadsters anglais construits à la main. Explications.

Propulsée par un 6 en ligne de 4.2 litres, vous l’aurez deviné en remarquant les imposantes tubulures d’échappement, la Ronart est un pur roadster sportif.

2 places, hautes performances, utilisable sur route et circuit, la Ronart affiche clairement ses prétentions. Et nous ne sommes qu’en 1981 à sa sortie !

Comme à l’accoutumée pour ces productions anglaises, vous pourrez choisir plusieurs niveaux de finitions, voire même choisir certaines spécifications techniques, c’est ça la classe anglaise.

Vous pensez certainement que le prix doit être en rapport avec la rareté de l’engin, et bien pas forcément.
Le moteur, la boîte de vitesses, le différentiel et quelques éléments de suspension étant empruntés à Jaguar.
Entre 1969 et 1985, la W152 sera basée sur la X.I, et entre 1973 et 1990, elle sera basée sur la V12.

Son prix donc, n’est « que » de 29400£ hors taxes, mais pour ce prix, vous aurez une voiture exclusive et très rare ! »

(extrait de  Caradisiac.com – Juin 2006)

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Sport

Pas de quoi pavoiser

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Blog en bug ! L’article d’hier soir – « de quoi pavoiser ou pas ?! » –  a disparu ;  j’en profite pour en modifier le titre… Actualité sportive oblige !…

Une balade sur le port du Teich, avec tous ces pavois au vent, avait été prétexte à un (mauvais) jeu de mots ! Les accros des stades sont abattus ou bien réclament rageusement des têtes, dans un excès de fair-play sportif  sans doute !

La Terre continuera à tourner, le vent à souffler pour les marins dont les exploits, au péril de la vie parfois, me font davantage rêver  que  ces pousseurs de ballon, encaisseurs de chèques (et de buts).

Je réserve ce drapeau tricolore à la commémoration de l’appel du 18 Juin !

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- La Teste de Buch (ports et ville), Architecture, BASSIN D'ARCACHON

La Teste : maison Lalanne, place Jean Hameau

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Jean Hameau (1779-1851), médecin précurseur, qui parcourut les marécages du bassin d’Arcachon pour combattre les fièvres palustres et typhoïdes, fut aussi maire de la Teste de Buch (1844-1848).

.Livre sur Jean Hameau

en savoir plus sur ce livre

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Lire l’étude du docteur René Lacassie, parue dans le Journal de Médecine de Bordeaux de juillet 1949 :

« Un homme politique peu connu, le Docteur Jean Hameau, Maire de la Teste (1844-1848) »

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Place Jean Hameau: carrefour des voies conduisant à Bordeaux, Arcachon, Cazaux et Le Pyla, elle a perdu progressivement de son importance au cours des années. C’est sans doute le noyau du bourg édifié à partir du XVIe siècle. La concentration des vestiges anciens dans son voisinage semble le confirmer.

Maison Lalanne: place Jean Hameau, bibliothèque municipale et office de tourisme. Son patronyme provient de la dernière propriétaire, veuve du Docteur Lalanne (1909) en fit don à la commune en 1928, cette transaction n’a pu aboutir qu’en 1942. Mairie de La Teste de 1857 à 1862.

(source Wikipédia)

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Maison Lalanne, le 6 Juin

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