Marion B..
Après le givre, j’espérais immortaliser cette cabane sous le chêne au feuillage vert tendre du printemps, quelle ne fut pas ma déception !…
Un pin, deux pins, trois pins…. une forêt de pins en moins !
50 ans à attendre… à moins de retrouver ma poudre de perlimpinPIN !!
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Mon souvenir, le charme de Castandet sous le givre, en Janvier 2007 :
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Je crois rêver face à ce nouveau paysage de désolation… Avril 2007 :
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Les photos sont trop souvent posthumes. Elles resteront pour tant de choses… notre mémoire.
Tes photos sont et surtout les premières, magnifiques.
Notre erreur est parfois de vouloir retourner sur des lieux qui nous ont séduits. Rien de plus triste quand le charme n’agit plus… ou n’y est plus, comme ici. La photo d’Avril, était restée dans un tiroir, la seule place qu’elle mérite, tant sur le plan artistique qu’émotionnel ! 😦
« Posthumes », tu as trouvé le mot juste !
Merci pour ton passage ! 🙂