
Au fil de la visite, le 17 Septembre 2025
Chef-d’œuvre de l’art roman du XIIe siècle, inscrite par l’UNESCO sur la liste du patrimoine mondial au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, l’abbaye de La Sauve-Majeure représente un magnifique témoignage d’architecture religieuse ayant traversé les siècles. Elle déploie un paysage à ciel ouvert sur plus de deux hectares et présente des décors sculptés de toute beauté : animaux fabuleux, héros, récits bibliques se racontent sur les chapiteaux de l’église et du chevet.
(source : Gironde Tourisme/Abbaye de la Sauve-Majeure)


Site officiel de l’abbaye de la Sauve-Majeure :



https://www.abbaye-la-sauve-majeure.fr/
AU FIL DE LA VISITE
(le temps ayant manqué pour tout voir, tout lire, et malgré notre tentative de répartition des tâches, une session de rattrapage va s’imposer !…)
L’entrée, le hall d’accueil et un rapide coup d’oeil au musée :









Pages d’histoire, et quelques unes des gravures et cartes postales anciennes :













Tout voir, tout savoir (histoire, architecture…) :
Début de la visite, vue sur le village de la Sauve et son église Saint-Pierre de la Sauve :



(A)Bécédaire ! (Etourderie et surtout manque de temps pour un inventaire de A à Z !)




Au coeur des ruines, avec de superbes chapitaux, chefs-d’oeuvre de l’art roman :


























Autour du chêne vert (yeuse) d’au moins 150 ans :
Longtemps considéré comme arbre divin par les peuples méditerranéens, le chêne vert était utilisé pour les couronnes royales des Romains. Devenu aussi arbre des morts (après le cyprès ou l’if), la légende raconte qu’il aurait fourni son bois pour la croix du Christ. (source : panneau explicatif)






Fin de la visite, un H (!) et une nouvelle vue d’ensemble depuis le parc :







