Mea culpa, Messieurs, pour ce titre aguicheur ! Il faudra vous contenter d’une cupule de gland dansant, dans une brise légère, autour d’une tige de prêle…
Car il n’y a pas que des cèpes et des écureuils sous mes fenêtres, et tout est prétexte pour retarder le moment d’entrer pour de bon en cuisine !
Depuis la fenêtre de la cuisine – Septembre 2025
(1 bannière et 1 photo)
Timide, caché derrière une feuille, mais adepte de couleurs bien vives !
Sur un étang du Teich – Juillet 2025
(2 bannières et 3 photos)
Esseulé et souvent délaissé au profit de ses nombreux voisins roses, j’ai eu envie de réparer une injustice !
Etang au Teich – le 11 Septembre 2025
Un des premiers cèpes du jardin, il y a quelques années…
Je vous avais raconté la fable du cèpe et de l’écureuil…
Un cèpe trouvé ce matin dans le jardin m’y a refait penser. Et ceci une demi-journée à peine après un triste épisode : la mort d’un jeune écureuil, trophée de chasse rapporté fièrement à ma voisine, par sa tigresse de chatte.
Bien entendu, pas le coeur à le photographier sans vie. Et pas de fable non-plus puisque la rencontre entre ce pauvre petit animal et le cèpe n’aura pas eu lieu, cette fois-ci…
(1 bannière et 2 photos)
Après des senteurs iodées dans les herbes folles, place à un peu de douceur et à des teintes pastel, à l’étang derrière chez moi.
Etang au Teich, le 20 Juillet 2025
Marion B.